Éric Tabuchi

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Nelly Monnier

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L’ARn, l'Atlas des Régions naturelles est une collecte d’images colossale et ambitieuse. Ce catalogue&nbsp;fantastique répertorie les multiples composantes du patrimoine architectural vernaculaire de France, avec le souci que tout, de l’insignifiant au remarquable y trouve une place. Au rythme soutenu de 20 images par jour, 150 jours par an, Eric Tabuchi et Nelly Monnier réalisent le pari fou de faire un état des lieux visuel de la France du début du XXIe siècle. Cet atlas photographique&nbsp;sera composé à terme (en 2024) de 25 000 à 30 000 images.<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions8_cb40c2a7f5.jpg"></figure>Eric Tabuchi et Nelly Monnier&nbsp;: “Notre travail remet à plat la perception qu'on a de la laideur de certains lieux et la beauté&nbsp;de certains autres, selon des critères qui relèvent du cliché, de la&nbsp;“carte postale“&nbsp;— généralement dictés par des intérêts d’attraction touristique. C'est un principe extrêmement excluant que nous tentons, par ce projet, de contourner.“&nbsp;<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions6_9a78981377.jpg"></figure>“À l’heure où nous mettons ce site en ligne (le 5 nov. 2020)&nbsp;<a href="www.archive-arn.fr">www.archive-arn.fr</a>&nbsp;contient plus de 12000 photographies prises depuis 2017, date à laquelle nous avons commencé l’ARN (L'Atlas des Régions Naturelles). Cette première partie, qui couvre essentiellement le nord de la France, se situe à mi-parcours de notre projet. À partir de ce point, les ajouts se feront au gré des voyages - ainsi il sera possible de consulter l’archive existante mais aussi de suivre en temps réel l’avancement des travaux. Ce contenu n’étant pas figé, nous comptons aussi sur vos remarques pour en corriger les erreurs ou en enrichir le contenu. Enfin, si l’Atlas des Régions Naturelles possède une dimension documentaire, s’il se situe plutôt du côté de la fonction que de la fiction, nous le considérons comme une aventure artistique, une œuvre au long cours dont nous ne cessons d’improviser le devenir."<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions9_48d696337d.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions3_56a0457172.jpg"></figure>“L'Atlas des Régions Naturelles" consultable sur&nbsp;<a href="www.archive-arn.fr">www.archive-arn.fr</a>&nbsp;est une initiative indépendante dont nous finançons en grande partie la réalisation.&nbsp; En faisant l’acquisition d’une photographie, d'une peinture ou d’un écusson&nbsp;sur&nbsp;<a href="https://atlasrn.fr">ce site</a>, vous soutenez l'Atlas et contribuez à son avancement. Nous remercions chaleureusement les personnes qui se sont impliquées dans la réalisation de cette aventure et dont l'aide nous est indispensable.”<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions1_fccfc8cc2b.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions7_20c7a40eed.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions5_12e9569bcb.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions10_6737c75458.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions2_4b75e64e34.jpg"></figure>&nbsp;

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l'Atlas naturel

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Nous profitons de l'exposition “<a href="https://gwinzegal.com/actualites/l-invention-d-une-histoire-vraie">L'invention d'une histoire vraie</a>“ à partir du 22 octobre qui leur est consacrée au centre d'art GwinZegal à Guingamp et de la sortie d'un <a href="https://gwinzegal.com/editions/arn-vol-1">livre</a> pour vous (re)parler de l'ARn. L 'Atlas des Régions naturelles est une collecte d’images colossale et ambitieuse. Ce catalogue&nbsp;fantastique répertorie les multiples composantes du patrimoine architectural vernaculaire de France, avec le souci que tout, de l’insignifiant au remarquable y trouve une place. Au rythme soutenu de 20 images par jour, 150 jours par an, Eric Tabuchi et Nelly Monnier réalisent le pari fou de faire un état des lieux visuel de la France du début du XXIe siècle. Cet atlas photographique&nbsp;sera composé à terme (en 2024) de 25 000 à 30 000 images.<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions8_cb40c2a7f5.jpg"></figure>Eric Tabuchi et Nelly Monnier&nbsp;: “Notre travail remet à plat la perception qu'on a de la laideur de certains lieux et la beauté&nbsp;de certains autres, selon des critères qui relèvent du cliché, de la&nbsp;“carte postale“&nbsp;— généralement dictés par des intérêts d’attraction touristique. C'est un principe extrêmement excluant que nous tentons, par ce projet, de contourner.“&nbsp;<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_en_region1_7bbbe24236.jpg"></figure>Une <a href="https://gwinzegal.com/expositions/l-invention-d-une-histoire-vraie-eric-tabuchi-nelly-monnier">exposition</a> chaudement recommandée du 22 octobre au 6&nbsp;février 2022 est en place au Centre d’art <a href="https://gwinzegal.com/actualites">GwinZegal</a> à Guingamp. A vous de prendre les petites routes en prenant votre temps également pour vous y rendre. Le <a href="https://gwinzegal.com/actualites">GwinZegal</a> : “Le désir de Nelly Monnier et Éric Tabuchi de dresser en tandem un portrait en 22 000 images de la France, territoire de plus 500 000 km2 tient de la folie sinon de l’utopie. À&nbsp;l’ivresse de la vitesse de notre époque, Nelly Monnier et Éric Tabuchi opposent l’éloge de la lenteur et des petites routes. C’est dans une petite automobile, à&nbsp;vitesse réduite, qu’ils sillonnent discrètement le paysage, ponctuant cet atlas imaginaire d’innombrables arrêts. On y&nbsp;découvre un catalogue des manières de vivre et de construire où le sublime jouxte le ridicule. Le parpaing, la brique, l’ardoise, la tôle ou la tuile nous disent autant la mondialisation que la volonté individuelle d’habiter le monde et d’exister de manière singulière. Leur regard est frontal, le ciel souvent couvert n’est pas là pour afficher une forme de déprime d’un monde en crise, mais pour tenter de le représenter dans l’étendue la plus large de ses détails et de ses nuances“.<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions3_56a0457172.jpg"></figure>Nelly Monnier et Éric Tabuchi : “Et voilà, le premier volume de l'ARN est arrivé dans les temps jusqu'à <a href="https://gwinzegal.com/actualites/arn-1">GwinZegal</a> pour l'ouverture de l'exposition “<a href="https://gwinzegal.com/actualites/l-invention-d-une-histoire-vraie">L'invention d'une histoire vraie</a>“. Il est disponible sur les sites de <a href="https://gwinzegal.com/actualites/arn-1">GwinZegal</a> et de <a href="https://www.poursuite-editions.org/?product=arn-vol-1">Poursuite</a>, avant sa distribution imminente en librairie“ !<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_en_region4_f53f57bba5.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_en_region2_a980e874d0.jpg"></figure>Nelly Monnier et Éric Tabuchi : “À l’heure où nous mettons ce site en ligne (le 5 nov. 2020)&nbsp;<a href="www.archive-arn.fr">www.archive-arn.fr</a>&nbsp;contient plus de 12000 photographies prises depuis 2017, date à laquelle nous avons commencé l’ARN (L'Atlas des Régions Naturelles). Cette première partie, qui couvre essentiellement le nord de la France, se situe à mi-parcours de notre projet. À partir de ce point, les ajouts se feront au gré des voyages - ainsi il sera possible de consulter l’archive existante mais aussi de suivre en temps réel l’avancement des travaux. Ce contenu n’étant pas figé, nous comptons aussi sur vos remarques pour en corriger les erreurs ou en enrichir le contenu. Enfin, si l’Atlas des Régions Naturelles possède une dimension documentaire, s’il se situe plutôt du côté de la fonction que de la fiction, nous le considérons comme une aventure artistique, une œuvre au long cours dont nous ne cessons d’improviser le devenir."<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions9_48d696337d.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions2_4b75e64e34.jpg"></figure>Nelly Monnier et Éric Tabuchi : “L'Atlas des Régions Naturelles" consultable sur&nbsp;<a href="www.archive-arn.fr">www.archive-arn.fr</a>&nbsp;est une initiative indépendante dont nous finançons en grande partie la réalisation.&nbsp; En faisant l’acquisition d’une photographie, d'une peinture ou d’un écusson&nbsp;sur&nbsp;<a href="https://atlasrn.fr">ce site</a>, vous soutenez l'Atlas et contribuez à son avancement. Nous remercions chaleureusement les personnes qui se sont impliquées dans la réalisation de cette aventure et dont l'aide nous est indispensable.”<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_en_region3_1db2beb231.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_en_region9_4749b91dcd.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_en_region7_019f983732.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_en_region8_20de2659f6.jpg"></figure><div class="raw-html-embed"><div style="position:relative; max-width:400px; min-width:100px;overflow-y: scroll;"><iframe src="https://www.instagram.com/p/CVSpnBANVQm/embed/" allowtransparency="true" allowfullscreen="true" data-instgrm-payload-id="instagram-media-payload-0" scrolling="no" style="background: white; max-width: 540px; width: calc(100% - 2px); border-radius: 3px; border: 1px solid rgb(219, 219, 219); box-shadow: none; display: block; margin: 0px 0px 12px; min-width: 326px; padding: 0px;" height="681" frameborder="0"></iframe></div></div>&nbsp;

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l'Atlas en région

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Ce <a href="https://pointerpointer.com/">site</a> vieux comme l’internet lui-même est un réservoir de photos amateurs de vrais gens qui montrent du doigt dans la direction de votre choix.&nbsp;Mais comme on vient de retomber dessus, tout surpris de sa persistance, on n'a pas résisté à l'envie de vous le partager. Un plaisir sans nom doublé d’un réservoir photographique vernaculaire inépuisable.<figure class="image"><img src="/uploads/C_est_la5_130eea6246.jpg"></figure>On a tous entendu un jour quand on était petits, une grand-mère nous dire “on ne montre pas du doigt“, alors que l’on était en train de demander pourquoi le monsieur-là,&nbsp;il n’avait qu’une jambe. Ce serait malpoli soi-disant. Ou gênant pour la personne pointée. Voici donc, dans <a href="https://pointerpointer.com/">pointerpointer</a>, un immense vivier de “malpolis“ qui vous obéissent au doigt et à l’œil. Il suffit de déplacer votre pointer et hop, une photo surgit, une personne inconnue&nbsp;vous montre gentiment où elle est votre petite flèche. A chaque déplacement, vous trouverez une nouvelle âme charitable pour la montrer du doigt. L’occasion d’une visite tout à fait distrayante voire hilarante dans une collection de photos vernaculaires.&nbsp; Nous, on est fans depuis la nuit des temps.<figure class="image"><img src="/uploads/C_est_la7_4cd4ded988.jpg"></figure>La photographie vernaculaire est un genre de photographie d’amateur dont le sujet est la vie de tous les jours, sans intention artistique. Dans ce cas présent, il s’agit surtout de d’images prises dans “parties“ d’étudiants potentiellement éméchés. Un sous-genre de la photo vernaculaire qui plutôt amusante clairement. D’où les vertus hautement décontractantes d’une visite sur <a href="https://pointerpointer.com/">pointerpointer</a>.<figure class="image"><img src="/uploads/C_est_la3_305eb016b8.jpg"></figure>Si cette visite à pointerpointer a éveillé votre intérêt pour la photographie vernaculaire, vous pouvez prolonger par une visite en personne au 104 à Paris pour l’<a href="https://www.104.fr/fiche-evenement/tout-doit-disparaitre.html">exposition</a> “Tout doit disparaitre“&nbsp;dirigée par Jean-Marie Donat, un grand <a href="http://jeanmariedonat.com/">connaisseur</a> par la quantité de livres sur le sujet auxquels il a donné naissance.&nbsp; Une mini collection de <a href="https://montenlair.fr/?s=Jean-Marie+Donat&amp;post_type=product">recueils</a> allant du “what the fuck&nbsp;!“ jusqu’au “what the giga super mega fuck&nbsp;!“ compilant des images trash et désopilantes probablement souvent d’origine russe. Ces ouvrages de référence sont aussi des cadeaux d’anniversaire potentiels en cas de panne d’idée.<figure class="image"><img src="/uploads/C_est_la13_1cc2e3d277.jpg"></figure>Ou des livres thématiques plus “sérieux“ rassemblant des images d’amateurs pratiquant le triste “blackface“ aux États-Unis, ou des photos où l’ombre portée du photographe semble menaçante dans un recueil nommé “Predator“. Pour n’en citer que deux.<figure class="image"><img src="/uploads/C_est_la10_b31e265a2c.jpg"></figure>Présentation de l’<a href="https://www.104.fr/fiche-evenement/tout-doit-disparaitre.html">exposition</a> “Tout doit disparaitre“ au 104&nbsp;: “À partir de la collection d’images vernaculaires de l’artiste et éditeur Jean-Marie Donat qui court de 1880 à 1990,&nbsp;“Tout doit disparaitre“ synthétise et questionne obsessions et mécanismes de la classe moyenne occidentale. Et ce, selon les piliers de la société moderne que sont l’argent, la télévision, Noël, la voiture… Par la sélection et l’accumulation de ces images et leur mise en espace interactive, la commissaire Audrey Hoareau et le collectionneur Jean-Marie Donat mettent en lumière, dans ce projet ambitieux, les dérives d’un mode de vie&nbsp;en passe de s’effondrer“. C’est drôle et grinçant, une porte d’entrée parfaite pour le vernaculaire. Indispensable si vous en avez la possibilité. Prolongée jusqu’au 27.02.22.<figure class="image"><img src="/uploads/C_est_la8_3336a40676.jpg"></figure>C'est un plaisir de vous partager <a href="https://pointerpointer.com/">pointerpointer</a>, avec l'espoir que peut-être nous ne connaissiez pas. Une idée simple et brillante qui nous semble exister depuis que l’on connait internet.&nbsp; Et qui disparaitra probablement seulement quand l’internet s’éteindra. Ce qui n’est pas prévu pour le moment.&nbsp; Donc, pour résumer, une visite régulière à pointerpointer est conseillée. Mise en bonne humeur garantie. Même si ce n’est que tous les 2 ans.<figure class="image"><img src="/uploads/C_est_la2_ee640db34a.jpg"></figure>&nbsp;

Vernaculaire