C’est sans doute à ça que doit ressembler un cauchemar de traceur ou de traceuse (adepte du parkour), une course-poursuite impitoyable où malgré ses efforts on n’arrive jamais à semer une persécutrice cyborg féminine qui ne vous veut visiblement pas que du bien, voire cherche ostensiblement à vous taper dessus et n’a pas l’air du tout ouverte à la discussion. 

C'est ce qu'a voulu mettre en scène le freerunner Alex Schauer dans ce réjouissant court-métrage tourné en vision subjective.

Afin de ne froisser personne, nous allons donner quelques clés concernant les différences entre freerunnig et parkour car il s’agit de deux chapelles distinctes : Issus d’un même concept d’être un "Art du Déplacement" le Parkour et le Free-Running partagent toujours quelques similitudes c’est-à-dire avancer avec facilité quels que soient les obstacles à travers leur environnement, aussi bien urbain que rural. Les deux disciplines se veulent non compétitives, toutes deux se basent sur la durée de leur pratique. Mais le but du Parkour se résume en un déplacement rapide, utile et efficace. Ses pratiquants  s’entraînent dans le but de développer leurs compétences. Par contre, les freerunners veulent développer un aspect esthétique supplémentaire par des figures dans les franchissements, leur but est moins l’efficacité que le style.

Et ce qu'Alex aime particulièrement dans la vie, c'est partager ses nombreux exploits sur son site et sur son Instagram. Il est comme ça, Alex.