Arca

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Frederick Heyman 

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On est ravis de vous annoncer qu’on se retrouve complètement à court d’adjectifs qualificatifs pour définir un tant soit peu précisément cet objet visuel. On va faire une petite tentative pour vous faire plaisir quand même. Il faut commencer par dire qu’on est clairement dans un univers trans-tout. Le personnage central Arca, est transgenre, dans un monde transépoques, transesthétiques, transmusical, transcodes, tout est fait pour nous perdre dans cette saturation visuelle portée à une sorte d’apogée. Pourrait-t-on dire “rétro-futurisme totalement exagéré“ ou “bio-mécanique gothique de dance floor“&nbsp;?&nbsp; Les deux définitions sont recevables, on vous laisse vous fabriquer les vôtres. En tous les cas d’après ce disent leurs auteurs, le paysage artistique du clip et aussi des pochettes de disques, nouveaux fruits de la longue collaboration d’Arca et de l’artiste belge Frederik Heyman explore l’idée du transhumanisme exacerbé, qui enveloppe parfaitement l’identité fluide&nbsp;(humainement comme musicalement) d’Arca.&nbsp; Arca: “Prada est une célébration de la versatilité psycho-sexuelle“. C’est assez clair et cohérent en fait. Ça l’est encore plus avec les explications qui suivent.<figure class="image"><img src="/uploads/Transhumanisme3_f27eb5592d.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Transhumanisme14_87936e50a6.jpg"></figure>Alejandra Ghersi, connue sous son nom de scène Arca, est une musicienne, autrice-compositrice-interprète et productrice de musique électronique vénézuélienne, de Caracas. Elle décrit sa jeunesse dans le Connecticut comme étant dans une bulle et ajoute qu'elle avait été identifiée alors comme une personne de genre masculin, du mal à accepter son homosexualité. Arca s’identifie désormais comme non-binaire et utilise les pronoms “she/her/it“. Elle vit maintenant à Barcelone.<figure class="image"><img src="/uploads/Transhumanisme11_641d83e8f9.jpg"></figure>Ce clip trans-visuel saturé fusionne deux nouveaux titres “Prada" et "Rakata". de l’album à venir KiCk II. Étalé sur 12 pistes, l’album KiCk II sortira le 3 décembre chez XL Recordings. On y trouvera des collaborations avec Boys Noize, Cardopusher ou encore Sia. Après le très expérimental&nbsp;@@@@@,&nbsp;single de plus d’une heure, Arca a produit KiCk I, à ce jour son album le plus accessible, avec des morceaux brefs, parfois très dansants, de la pop au reggaeton, en passant par la techno.&nbsp;KiCk I&nbsp;est&nbsp;construit comme un “opéra électronique expérimental en trois actes” joyeux, et hétéroclite. Arca&nbsp;: “Je pense que chaque partie représente une facette différente de moi”. Le&nbsp;KiCk II à venir semble dans cette lignée tout aussi multi-facettes et transgenres. Pochette de l'album à venir KiCk II :<figure class="image"><img src="/uploads/Transhumanisme12_3f28b59efe.jpg"></figure>“To kick” :&nbsp;“donner des coups de pied, botter, tirer“.&nbsp;KiCk I et II&nbsp;évoquent, dès leurs titres, une naissance à venir. D’après Arca, la première image que lui évoque le verbe “kick” est celle d’un coup de pied prénatal : “Ce moment unique où les parents réalisent que leur bébé n'est pas sous leur contrôle mais a sa propre volonté de vivre, ses propres impulsions qui sont erratiques et imprévisibles, distinctes des leurs”. La volonté d’une renaissance de la part de l’artiste ? En tous les cas, la naissance d’une nouvelle phase&nbsp;musicale et visuelle chez Arca.<figure class="image image_resized" style="width:75%;"><img src="/uploads/Transhumanisme13_5c58a4954f.jpg"></figure>Cet objet visuel, dernière collaboration d’Arca et de l'artiste visuel Frederick Heyman après d’autres comme ci-dessous, donne vie à certaines des pochettes élaborées ensemble, dans ce paysage d'enfer numérique futuriste qui leur correspond parfaitement. Dans son travail, le photographe Frederik Heyman, artiste belge féru de technologie et d’imaginaire sci-fi, utilise la photogrammétrie pour mettre en scène des mondes numériques à partir de reliques du passé. (Technique permettant de déterminer les dimensions et les volumes des objets à partir de mesures effectuées sur des photographies montrant les perspectives de ces objets). Frederik Heyman&nbsp;: “Parce qu'il faut du temps pour expérimenter les trois dimensions, un scan 3D est porteur de durée. Le scanner 3D n'est pas seulement un moyen de conserver le passé, mais aussi un moyen de recycler le présent et une tentative de façonner l'avenir“.<div class="raw-html-embed"><iframe src="https://www.youtube.com/embed/gfGz4MTQ28I" title="YouTube video player" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="" width="560" height="315" frameborder="0"></iframe></div>Arca&nbsp;: “Rakata est une chanson sur la séduction, sur l'envie de dévorer le monde entier par désir de baiser, sans honte, sans condamnation, sur le sexe comme pulsion de vie face à la mort“&nbsp;<figure class="image"><img src="/uploads/Transhumanisme5_c202698c16.jpg"></figure>Arca&nbsp;: “ Prada est une chanson sur le kink en tant que moteur, sur le sexe et l'amour, et par-dessus tout sur la simultanéité de la capacité à s'abandonner et à se soumettre ainsi que de la capacité à dominer et ce dans un espace de consentement créé en collaboration“. “Prada est une chanson qui parle de défier la honte et de guérir les blessures ancestrales, de la futurité du désir et de l'amour comme un ruban de Moebius“.<figure class="image"><img src="/uploads/Transhumanisme7_e6b6369c35.jpg"></figure>“Prada, c'est la célébration de la polyvalence psychosexuelle ; une chanson qui parle explicitement de transidentité et de modes non binaires de mise en relation de l'énergie sexuelle de l'inconscient collectif comme une célébration de la vie“.<figure class="image"><img src="/uploads/Transhumanisme15_77b6ce18ad.jpg"></figure><div class="raw-html-embed"><div style="position:relative; max-width:400px; min-width:100px;overflow-y: scroll;"><iframe src="https://www.instagram.com/p/CV0xbtLFnBR/embed/" allowtransparency="true" allowfullscreen="true" data-instgrm-payload-id="instagram-media-payload-0" scrolling="no" style="background: white; max-width: 540px; width: calc(100% - 2px); border-radius: 3px; border: 1px solid rgb(219, 219, 219); box-shadow: none; display: block; margin: 0px 0px 12px; min-width: 326px; padding: 0px;" height="681" frameborder="0"></iframe></div></div><div class="raw-html-embed"><iframe src="https://www.youtube.com/embed/m-qzs7ePt1o" title="YouTube video player" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="" width="560" height="315" frameborder="0"></iframe></div>

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transhumanisme éxarcerbé

artivisme

Éric Tabuchi

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Nelly Monnier

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Nous profitons de l'exposition “<a href="https://gwinzegal.com/actualites/l-invention-d-une-histoire-vraie">L'invention d'une histoire vraie</a>“ à partir du 22 octobre qui leur est consacrée au centre d'art GwinZegal à Guingamp et de la sortie d'un <a href="https://gwinzegal.com/editions/arn-vol-1">livre</a> pour vous (re)parler de l'ARn. L 'Atlas des Régions naturelles est une collecte d’images colossale et ambitieuse. Ce catalogue&nbsp;fantastique répertorie les multiples composantes du patrimoine architectural vernaculaire de France, avec le souci que tout, de l’insignifiant au remarquable y trouve une place. Au rythme soutenu de 20 images par jour, 150 jours par an, Eric Tabuchi et Nelly Monnier réalisent le pari fou de faire un état des lieux visuel de la France du début du XXIe siècle. Cet atlas photographique&nbsp;sera composé à terme (en 2024) de 25 000 à 30 000 images.<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions8_cb40c2a7f5.jpg"></figure>Eric Tabuchi et Nelly Monnier&nbsp;: “Notre travail remet à plat la perception qu'on a de la laideur de certains lieux et la beauté&nbsp;de certains autres, selon des critères qui relèvent du cliché, de la&nbsp;“carte postale“&nbsp;— généralement dictés par des intérêts d’attraction touristique. C'est un principe extrêmement excluant que nous tentons, par ce projet, de contourner.“&nbsp;<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_en_region1_7bbbe24236.jpg"></figure>Une <a href="https://gwinzegal.com/expositions/l-invention-d-une-histoire-vraie-eric-tabuchi-nelly-monnier">exposition</a> chaudement recommandée du 22 octobre au 6&nbsp;février 2022 est en place au Centre d’art <a href="https://gwinzegal.com/actualites">GwinZegal</a> à Guingamp. A vous de prendre les petites routes en prenant votre temps également pour vous y rendre. Le <a href="https://gwinzegal.com/actualites">GwinZegal</a> : “Le désir de Nelly Monnier et Éric Tabuchi de dresser en tandem un portrait en 22 000 images de la France, territoire de plus 500 000 km2 tient de la folie sinon de l’utopie. À&nbsp;l’ivresse de la vitesse de notre époque, Nelly Monnier et Éric Tabuchi opposent l’éloge de la lenteur et des petites routes. C’est dans une petite automobile, à&nbsp;vitesse réduite, qu’ils sillonnent discrètement le paysage, ponctuant cet atlas imaginaire d’innombrables arrêts. On y&nbsp;découvre un catalogue des manières de vivre et de construire où le sublime jouxte le ridicule. Le parpaing, la brique, l’ardoise, la tôle ou la tuile nous disent autant la mondialisation que la volonté individuelle d’habiter le monde et d’exister de manière singulière. Leur regard est frontal, le ciel souvent couvert n’est pas là pour afficher une forme de déprime d’un monde en crise, mais pour tenter de le représenter dans l’étendue la plus large de ses détails et de ses nuances“.<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions3_56a0457172.jpg"></figure>Nelly Monnier et Éric Tabuchi : “Et voilà, le premier volume de l'ARN est arrivé dans les temps jusqu'à <a href="https://gwinzegal.com/actualites/arn-1">GwinZegal</a> pour l'ouverture de l'exposition “<a href="https://gwinzegal.com/actualites/l-invention-d-une-histoire-vraie">L'invention d'une histoire vraie</a>“. Il est disponible sur les sites de <a href="https://gwinzegal.com/actualites/arn-1">GwinZegal</a> et de <a href="https://www.poursuite-editions.org/?product=arn-vol-1">Poursuite</a>, avant sa distribution imminente en librairie“ !<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_en_region4_f53f57bba5.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_en_region2_a980e874d0.jpg"></figure>Nelly Monnier et Éric Tabuchi : “À l’heure où nous mettons ce site en ligne (le 5 nov. 2020)&nbsp;<a href="www.archive-arn.fr">www.archive-arn.fr</a>&nbsp;contient plus de 12000 photographies prises depuis 2017, date à laquelle nous avons commencé l’ARN (L'Atlas des Régions Naturelles). Cette première partie, qui couvre essentiellement le nord de la France, se situe à mi-parcours de notre projet. À partir de ce point, les ajouts se feront au gré des voyages - ainsi il sera possible de consulter l’archive existante mais aussi de suivre en temps réel l’avancement des travaux. Ce contenu n’étant pas figé, nous comptons aussi sur vos remarques pour en corriger les erreurs ou en enrichir le contenu. Enfin, si l’Atlas des Régions Naturelles possède une dimension documentaire, s’il se situe plutôt du côté de la fonction que de la fiction, nous le considérons comme une aventure artistique, une œuvre au long cours dont nous ne cessons d’improviser le devenir."<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions9_48d696337d.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions2_4b75e64e34.jpg"></figure>Nelly Monnier et Éric Tabuchi : “L'Atlas des Régions Naturelles" consultable sur&nbsp;<a href="www.archive-arn.fr">www.archive-arn.fr</a>&nbsp;est une initiative indépendante dont nous finançons en grande partie la réalisation.&nbsp; En faisant l’acquisition d’une photographie, d'une peinture ou d’un écusson&nbsp;sur&nbsp;<a href="https://atlasrn.fr">ce site</a>, vous soutenez l'Atlas et contribuez à son avancement. Nous remercions chaleureusement les personnes qui se sont impliquées dans la réalisation de cette aventure et dont l'aide nous est indispensable.”<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_en_region3_1db2beb231.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_en_region9_4749b91dcd.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_en_region7_019f983732.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_en_region8_20de2659f6.jpg"></figure><div class="raw-html-embed"><div style="position:relative; max-width:400px; min-width:100px;overflow-y: scroll;"><iframe src="https://www.instagram.com/p/CVSpnBANVQm/embed/" allowtransparency="true" allowfullscreen="true" data-instgrm-payload-id="instagram-media-payload-0" scrolling="no" style="background: white; max-width: 540px; width: calc(100% - 2px); border-radius: 3px; border: 1px solid rgb(219, 219, 219); box-shadow: none; display: block; margin: 0px 0px 12px; min-width: 326px; padding: 0px;" height="681" frameborder="0"></iframe></div></div>&nbsp;

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l'Atlas en région

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L’ARn, l'Atlas des Régions naturelles est une collecte d’images colossale et ambitieuse. Ce catalogue&nbsp;fantastique répertorie les multiples composantes du patrimoine architectural vernaculaire de France, avec le souci que tout, de l’insignifiant au remarquable y trouve une place. Au rythme soutenu de 20 images par jour, 150 jours par an, Eric Tabuchi et Nelly Monnier réalisent le pari fou de faire un état des lieux visuel de la France du début du XXIe siècle. Cet atlas photographique&nbsp;sera composé à terme (en 2024) de 25 000 à 30 000 images.<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions8_cb40c2a7f5.jpg"></figure>Eric Tabuchi et Nelly Monnier&nbsp;: “Notre travail remet à plat la perception qu'on a de la laideur de certains lieux et la beauté&nbsp;de certains autres, selon des critères qui relèvent du cliché, de la&nbsp;“carte postale“&nbsp;— généralement dictés par des intérêts d’attraction touristique. C'est un principe extrêmement excluant que nous tentons, par ce projet, de contourner.“&nbsp;<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions6_9a78981377.jpg"></figure>“À l’heure où nous mettons ce site en ligne (le 5 nov. 2020)&nbsp;<a href="www.archive-arn.fr">www.archive-arn.fr</a>&nbsp;contient plus de 12000 photographies prises depuis 2017, date à laquelle nous avons commencé l’ARN (L'Atlas des Régions Naturelles). Cette première partie, qui couvre essentiellement le nord de la France, se situe à mi-parcours de notre projet. À partir de ce point, les ajouts se feront au gré des voyages - ainsi il sera possible de consulter l’archive existante mais aussi de suivre en temps réel l’avancement des travaux. Ce contenu n’étant pas figé, nous comptons aussi sur vos remarques pour en corriger les erreurs ou en enrichir le contenu. Enfin, si l’Atlas des Régions Naturelles possède une dimension documentaire, s’il se situe plutôt du côté de la fonction que de la fiction, nous le considérons comme une aventure artistique, une œuvre au long cours dont nous ne cessons d’improviser le devenir."<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions9_48d696337d.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions3_56a0457172.jpg"></figure>“L'Atlas des Régions Naturelles" consultable sur&nbsp;<a href="www.archive-arn.fr">www.archive-arn.fr</a>&nbsp;est une initiative indépendante dont nous finançons en grande partie la réalisation.&nbsp; En faisant l’acquisition d’une photographie, d'une peinture ou d’un écusson&nbsp;sur&nbsp;<a href="https://atlasrn.fr">ce site</a>, vous soutenez l'Atlas et contribuez à son avancement. Nous remercions chaleureusement les personnes qui se sont impliquées dans la réalisation de cette aventure et dont l'aide nous est indispensable.”<figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions1_fccfc8cc2b.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions7_20c7a40eed.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions5_12e9569bcb.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions10_6737c75458.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Atlas_Des_Regions2_4b75e64e34.jpg"></figure>&nbsp;

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l'Atlas naturel

andy swartz

L'Rain

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Voici une vidéo d'une très belle simplicité et force pour" “Blame me” sur le nouvel album “Fatigue” de L'Rain (sortie le 25 juin 2021) avec la fascinante <a href="https://www.instagram.com/tinkcolorful/?hl=fr">@tinkcolorful</a> dont on connaissait déjà le <a href="https://www.instagram.com/p/CBwxqlxB_-q/">portrait</a> fait par le photographe Luke Gilford. Laissons L'Rain nous parler de sa vision sur cette vidéo très personnelle :&nbsp; "J'ai suivi un cours de mime pendant un an quand j'étais enfant et maintenant, dans ce moment de tourmente, je me suis retrouvée à revenir à ce moment de mime de l'enfance sous une forme légèrement différente. J'ai beaucoup pensé aux clowns et je suis fascinée par l'entropie et l'absurdité qui les entourent. Une étrange étoile polaire pour moi en ces temps dévastateurs. L'icône ultime de l'émotion réprimée, stratifiée, complexe et changeante. Il y a quelque chose qui résonne avec les "monstres" : les gens qui sont considérés comme inutiles, dangereux ou trop étranges pour être compris. J'ai aussi appris récemment qu'un de mes parents éloignés était acrobate dans un cirque, il y a donc un lien littéral pour moi aussi - je ne sais presque rien de lui, mais je m'invente parfois des histoires dans ma tête sur ce qu'aurait pu être sa vie d'artiste de cirque noir dans un monde pré-Universoul. Le concept de cette vidéo m'est venu assez rapidement et Andy Swartz l'a vraiment concrétisé et a comblé toutes les lacunes. "Blame Me" est une chanson sur la culpabilité que je ressens face à la mort et au deuil : des regrets sur des choses que j'aurais aimé faire ou dire quand les gens étaient vivants, des choses que j'aurais aimé faire ou dire pour les garder en vie. La vidéo montre un acte à la fois ingénieux et désespéré qui me rappelle le choc initial du deuil. La guérison n'est pas seulement une musique lente, une sauge brûlante et des palettes de couleurs douces. C'est désorienté. C'est effrayant. C'est inconfortable. Je voulais creuser ce sujet avec cette vidéo." Et à l'intention de l'actrice principale, L'Rain dit : “ <a href="https://www.instagram.com/tinkcolorful/?hl=fr">@tinkcolorful</a>, &nbsp;la plus merveilleuse des étoiles, MERCI ! Tu es une âme tellement belle et gracieuse et une force créative vraiment incroyable. Merci pour ta confiance quand je ne faisais que rôder dans tes DM 🤦🏾♀️Ta lumière rayonne à travers la caméra comme personne que j'ai vu !”&nbsp;<figure class="image image_resized" style="width:75%;"><img src="/uploads/Accusez_moi2_af0c672ff6.jpg"></figure>&nbsp;

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Accusez moi

musique

Shoko Hara

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ina muller

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Une vidéo musicale qui défend la cigarette ce n'est pas très courant en ce moment, c'est ce que fait la chanteuse Ina Müller. Ina Müller est une chanteuse, fumeuse, auteure-compositrice-interprète, écrivaine, actrice et animatrice de télévision très connue en Allemagne. Cette vidéo est animée à l'image par la très talentueuse Shoko Hara à qui l'on doit également l'étonnant <a href="https://vimeo.com/ondemand/justaguy">Just a Guy</a>.<figure class="image"><img src="/uploads/Cigarette_Collage2_74127473eb.jpg"></figure>Voici les paroles du morceau “Rauchen” (fumée) : Si je n'avais jamais commencé, je n'aurais pas manqué ça. J'aurais senti mieux mais j'aurais moins embrassé. J'aurais traîné avec les gars du cendrier devant les bars... D'abord ils me donnaient du feu, ensuite ils me donnaient leur numéro. On gonflait pendant notre pause déjeuner et on laissait les vieux dans le placard. Nous sommes devenus amis et sommes tous les deux tombés malades dans le processus. Les fumeurs ont le sens de l'humour, les meilleures blagues du monde. (Refrain) Je devrais le savoir, je l'ai dit à la plupart d'entre eux. Nous avions l'habitude de fumer partout et tout le temps Maintenant, je me demande si c'était nécessaire. # Je ne pense pas, mais ça aurait été dommage # Il y aurait eu d'autres amis et d'autres histoires Je suis sûr que ma vie aurait été différente. Si je n'avais jamais commencé à fumer &nbsp;<figure class="image image_resized" style="width:75%;"><img src="/uploads/Cigarette_Collage1_e91569e0c3.jpg"></figure>

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The avalanches

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Voici une drôle de vidéo des merveilleux The avalanches, coutumiers des vidéos étranges. Une sorte de travelling latéral dans une rue qui pourrait être dans l'East Village de NYC constitué uniquement de boutiques cheap de voyantes. Cette rue reconstituée et redessinée numériquement semble inspirée par de vraies échoppes, car on a toutes l'impression de les avoir vues si on trainé dans ce coin de Manhattan. D'après les crédits, la vidéo est réalisée par les Avalanches eux-mêmes.&nbsp;<figure class="image"><img src="/uploads/oncontinue4_657c0a5dc0.jpg"></figure>Invités sur ce morceau figurent Cola Boyy (l'étrange disco boy californien signé en France), Mick Jones (ex-Clash). Un petit résumé du parcours de The Avalanches : Leur premier album 'Since I Left You', sorti en 2000, a jeté les bases de l'avenir de la musique à base de samples au 21e siècle. De même, leur album suivant, "Wildflower", sorti en 2016, repose sur un patchwork de samples, ce qui a valu au groupe un succès critique unanime. Leur troisième album complet 'We Will Always Love You' est sorti en décembre 2020 - un album que beaucoup qualifient d'album de l'année. Bref, si vous ne les connaissez pas, il est urgent de les découvrir.<figure class="image"><img src="/uploads/oncontinue2_9e699ab586.jpg"></figure>

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Deadly Prey Gallery

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Deadly Prey est un espace artistique de Chicago qui défend les œuvres d'art d'Afrique de l'Ouest. Deadly Prey a mis en ligne <a href="https://deadly-prey-gallery.myshopify.com/">un site de vente</a> d'originaux ou de prints d'affiches de cinéma peintes à la main par ces maestros du Ghana (à des prix tout à fait abordables). Des années 80 aux années 90, les affiches de films étaient toutes peintes à la main au Ghana. N’ayant généralement pas vu les films, ces peintres improvisaient selon l'idée qu'ils se faisaient du flm, couleurs criardes, effusions d'hémoglobine, nudité : le seul but étant bien entendu d'attirer le spectateur.&nbsp;<figure class="image"><img src="/uploads/Affiches_du_ghana1_b1c15c69e5.jpg"></figure>Ces affiches étaient autrefois le produit d'une industrie beaucoup plus importante connue sous le nom de "Ghanaian Mobile Cinema". Cette activité a débuté à la fin des années 1980 lorsque des groupes d'artistes industrieux ont formé des clubs vidéo. Munis d'une télévision, d'un magnétoscope, de cassettes vhs et d'un générateur portable, ils parcouraient le Ghana en installant des salles de projection improvisées dans des villages privés d'électricité. Une sélection intéressante de films est devenue populaire grâce à ce commerce : films d'action et d'horreur hollywoodiens, films américains à petit budget, films de Bollywood, films d'arts martiaux de Hong Kong et films ghanéens et nigérians.<figure class="image"><img src="/uploads/Affiches_du_ghana2_898876a30c.jpg"></figure>Au fur et à mesure que de plus en plus de personnes s'intéressent à ce commerce en plein essor, la concurrence s'installe. Les exploitants de cinémas mobiles ont ressenti le besoin de différencier leurs produits, ce qui a donné naissance à un motif publicitaire. En l'absence d'accès abordable à l'imprimerie, l'affiche de cinéma peinte à la main était le véhicule publicitaire le plus logique. Des artistes locaux qualifiés faisaient désormais partie de cette industrie du divertissement en plein essor au Ghana, et ils apportaient certainement leur propre touche à chaque film qu'ils étaient appelés à promouvoir. En cousant ensemble deux sacs de farine usagés, on a créé une toile de taille parfaite pour une affiche de film. La taille de chaque affiche unique varie de 40 à 50 pouces de large sur 55 à 70 pouces de haut. La robustesse de ces affiches est immédiatement remarquée. Même si une affiche n'a que 10 à 20 ans, son apparence dépassera de loin son âge réel, en raison de l'usure due au transport constant, au roulage, au pliage, à l'exposition au soleil, à la pluie, etc. Aujourd'hui, l'accès à l'impression est beaucoup moins coûteux et les films sont devenus plus accessibles au grand public au Ghana. Le cinéma ambulant a pratiquement disparu, mais ces affiches de cinéma peintes à la main restent un merveilleux produit tangible de l'époque.&nbsp; Si vous faites un tour <a href="https://deadly-prey-gallery.myshopify.com/">sur le site</a> vous allez en acheter, c'est certain.<figure class="image"><img src="/uploads/Affiches_du_ghana3_23d094a548.jpg"></figure>&nbsp;<figure class="image"><img src="/uploads/Affiches_du_ghana7_596148d6d0.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Affiches_du_ghana4_ed86518ac3.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Affiches_du_ghana6_cf8dac277f.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Affiches_du_ghana10_6699a2aa9f.jpg"></figure>

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Affiches du ghana

Reese Donohue

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L'Rain annonce la sortie de son deuxième album “Fatigue”, le 25 juin 2021 via son nouveau label Mexican Summer. Elle a également partagé le titre "Two Face", qui arrive avec un clip d'une atmosphère étrange, une veillée tropicale et digitale créé par Reese Donohue de Tempo Studio. La vision de cette vidéo ne vous rendra pas triste mais elle parle quand même de la “perte” d'un être cher. L'Rain : "C'est une chanson sur une brouille avec un ami. L'ami était gémeaux, d'où le titre "Two Face". La chanson est une conversation imaginaire décousue entre nous. Les parties "effrayantes" de la chanson ont les paroles les plus optimistes, et les parties "ensoleillées" ont les paroles les plus sombres. La chanson est surtout une réflexion sur le regret, car la dissolution de notre amitié était absolument de ma faute et elle me hante encore."&nbsp; Cette belle vidéo est la rencontre entre une musicienne expérimentale de Brooklyn de son vrai nom Taja Cheek et Reese Donohue, un artiste digital également de Brooklyn qui créé des expériences immersives ancrées dans le son, avec la conviction que le son et la forme sont inextricables. Effectivement. Belle rencontre.<figure class="image image_resized" style="width:75%;"><img src="/uploads/2faces1_747cca8b20.jpg"></figure><figure class="image image_resized" style="width:75%;"><img src="/uploads/2faces2_f3a1908711.jpg"></figure><figure class="image image_resized" style="width:75%;"><img src="/uploads/2faces3_d79ef92c41.jpg"></figure>

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Jonathan Zawada

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La nouvelle chanson Interstellar Love (ft. Leon Bridges) de The Avalanches est maintenant disponible et pour la mettre en images, il a été demandé à l'artiste visuel et digital Jonathan Zawada de trouver une brillante idée. Et en voici le radical résultat que Jonathan nous explique : “Le visuel d'Interstellar Love s'appuie sur le processus de sonification de la pochette de l'album. Grâce à un logiciel spécial, l'imagerie de la pochette est transformée en son, puis montée en un seul morceau sonore. Ce son a ensuite été superposé à la musique d'Interstellar Love. Ce son est ensuite retransformé en image grâce à un autre logiciel et l'image générée est modifiée ; il s'agit désormais d'une représentation visuelle lumineuse du signal audio.” "Les images sont comme un message secret, caché à l'intérieur de la musique. En construisant cette image morceau par morceau, le son prend vie avec le temps, une visualisation littérale de la musique ; sa trace s'empile derrière le son et l'image se révèle lentement. L'idée de préserver notre esprit en l'encodant dans le son et en le transmettant à l'univers - en le projetant dans l'infini, pour toute l'infinité - est au cœur des thèmes de "We Will Always Love You", et je voulais trouver la manière la plus pure de le représenter." "Le sujet de l'imagerie dans Interstellar Love reflète les idées des individus, et par extension de l'humanité, qui tentent de transcender la vie mortelle par la création d'art, une entreprise qui remonte aussi loin que l'espèce humaine elle-même.... "&nbsp;

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Interstellar Love

Gabber Modus Operandi

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Voici un supercut d'une mixtape audio vidéo de 45 minutes d'un duo hors-normes venant d'Asie : Gabber Modus Operandi&nbsp;est un phénomène incontournable de la scène rave indonésienne, le duo fusionne les sons stimulants du gabber et de la noise avec un certain nombre de sons issus du folklore indonésien tels que le jathilan, le dangdut koplo et le funkot.&nbsp;Ils ont commis cette mix tape audio-vidéo géniale de 45 min qui reste visible sur le <a href="https://fb.watch/4EbzHigT-m/">facebook </a>de Nowness Asia. La mixtape audio-vidéo complète, rythmée par la dance-music rapide et dure de GMO, raconte une histoire de rave intergalactique à travers une esthétique de jeu vidéo du début des années 2000.&nbsp; Ce supercut de 4 minutes de la audio vidéo mixtape, est accompagné du morceau de GMO “Melayu Boleh Neraka”, inédit mais qui figure dans la performance complète.&nbsp; Mais ne vous privez surtout pas du plaisir total du <a href="https://fb.watch/4EbzHigT-m/">voyage</a> de 45 minutes.<figure class="image image_resized" style="width:50%;"><img src="/uploads/Hardcoredindonesie1_c1bd9773b5.jpg"></figure><figure class="image image_resized" style="width:75%;"><img src="/uploads/Hardcoredindonesie2_5147abe0de.jpg"></figure><figure class="image image_resized" style="width:75%;"><img src="/uploads/Hardcoredindonesie3_1ae68dc60a.jpg"></figure><figure class="image image_resized" style="width:75%;"><img src="/uploads/Hardcoredindonesie4_a9bfd1390c.jpg"></figure><figure class="image image_resized" style="width:75%;"><img src="/uploads/Hardcoredindonesie6_2f19a6f419.jpg"></figure><figure class="image image_resized" style="width:75%;"><img src="/uploads/Hardcoredindonesie7_88192e607a.jpg"></figure><figure class="image image_resized" style="width:75%;"><img src="/uploads/Hardcoredindonesie8_049f30e31d.jpg"></figure><figure class="image image_resized" style="width:75%;"><img src="/uploads/Hardcoredindonesie9_9c45f236fa.jpg"></figure><figure class="image image_resized" style="width:75%;"><img src="/uploads/Hardcoredindonesie10_a9242c4a42.jpg"></figure><figure class="image image_resized" style="width:75%;"><img src="/uploads/Hardcoredindonesie11_8f7492128d.jpg"></figure><figure class="image"><img src="/uploads/Hardcoredindonesie12_df8e3f6b51.jpg"></figure><figure class="image image_resized" style="width:50%;"><img src="/uploads/Hardcoredindonesie13_772171277b.jpg"></figure>&nbsp;

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hardcore d'indonésie

Daisy Mortem

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Cindy Bluray et Vampiro Maracas, qui composent le cyber goth duo bordelais de Daisy Mortem nous parlent de leur amour pour Brigitte Fontaine : “Les médias décrivent souvent Brigitte Fontaine comme un personnage singulier, une satiriste excentrique, mais nous la voyons comme une artiste sérieuse. Elle ne rentre dans aucune case, elle n'a jamais de façade. Elle est brutalement honnête et crue. C'est ce que nous aimons chez elle, et ce qui correspond à nous et à nos principes. Elle a 81 ans, est toujours en tournée et plus punk que jamais. Elle nous rappelle que l'art est fait pour nous déranger et nous exciter.” "Artistiquement, les paroles sont incroyablement bien écrites et pertinentes. Brigitte chante la misère urbaine, le béton, les cigarettes, l'alcool et les maisons de retraite d'une manière brute, brutale et presque fantastique. Elle en est à un point où elle peut chanter "Je suis une vieille dame et je te baise le cul" sans que ce soit vulgaire. C'est drôle, c'est poétique et c'est brutal." Réalisé par Daisy Mortem et Felix Steger Création de l'avatar par Valeria Segna Paroles de Brigitte Fontaine Produit et interprété par Daisy Mortem<figure class="image"><img src="/uploads/Prohibition2050_1_6e37e6d8c7.jpg"></figure>

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Prohibition 2050

sega bodega

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Låpsley

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Rodrigo Inada

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Voici des conversations musicales à distance en visio (facetime) entre musiciens de qualité, un moment gentiment partagé avec nous. Le tout organisé par le réalisateur Rodrigo Inada.&nbsp;Le réalisateur d'origine brésilienne a profité de la période de confinement, pour organiser ces sortes de “boeufs” et duos romantiques entre le producteur, chanteur, auteur-compositeur de Glasgow Salvador Navarrete aka Sega Bodega et quelques invitées. Invitées de qualité musicale comme par exemple : Isamaya Ffrench, Lafawndah, Dorian Electra, Eartheater, Lapsley et d'autres… (Toutes visibles sur le Viméo de <a href="https://vimeo.com/rodrigoinada">Rodrigo Inanda</a>).&nbsp; Ces duos à distance ont pour but de “Reestablishing Connection”, rétablir la connexion, donc. En tous les cas, ils donnent l'impression de bien se reconnecter en douceur. &nbsp; (Låpsley, est une chanteuse, compositrice, musicienne et productrice anglaise. Son premier album Long Way Home est sorti le 4 mars 2016.)&nbsp; &nbsp;<div class="raw-html-embed"><iframe src="https://player.vimeo.com/video/475153477" allow="autoplay; fullscreen; picture-in-picture" allowfullscreen="" width="640" height="1138" frameborder="0"></iframe>
<a href="https://vimeo.com/475153477">Reestablishing Connection // Isamaya Ffrench x Sega Bodega</a> from <a href="https://vimeo.com/rodrigoinada">RODRIGO INADA</a> on <a href="https://vimeo.com">Vimeo</a>.</div><div class="raw-html-embed"><iframe src="https://player.vimeo.com/video/481426998?title=0&amp;byline=0&amp;portrait=0" allow="autoplay; fullscreen; picture-in-picture" allowfullscreen="" width="640" height="1138" frameborder="0"></iframe>
<a href="https://vimeo.com/481426998">facetime performances eartheater &amp; sega bodega</a> from <a href="https://vimeo.com/rodrigoinada">RODRIGO INADA</a> on <a href="https://vimeo.com">Vimeo</a>.</div>

David Chouferbad